Comme Promis
Une gracieuseté de David
Trois gars, deux apparts, un dogme... un quoi??
Death Cab for Cutie au Spectrum.
Meilleur show que vous êtes allé voir
Ça reste encore Coldplay en 2003 au Centre Bell. Ils avaient joué toutes les chansons que je voulais, ils avaient réussi à faire un show intime dans le centre Bell et les jeux de lumières étaient juste fous. J’avais passé la totalité du show debout à chanter avec Chris Martin, il avait l’air de tripper un max devant l’énorme foule et il nous parlait de avec un français très maladroit entre les chansons, les yeux tout brillants. Mon oncle était en avant de la foule et avait pris des photos durant les trois premières chansons, il m’en avait fait des agrandissements exclusifs qu’on avait pas vu dans les quotidiens le lendemain.
Pire show que vous êtes allé voir
Le show de Magnolia Electric Co. à la Salla Rossa. J’adore la musique de ce groupe-là, qui s’appelait auparavant Songs:Ohia, mais en show, ils sont très plate. Le chanteur avait aucun charisme, aucune présence sur scène. Tout le monde jasaient par-dessus la musique parce que c’était trop plate, je pense qu’il nous a parlé une fois pour dire autre chose que ‘thank you kindly’ et c’était pour dire que la prochaine chanson is about leaving your lover for all the wrong reasons. On était parti avant la fin du show, ça valait même pas la peine de rester.
Prochain show que vous allez voir
Iron and Wine avec Calexico au Spectrum.
Anecdote qui s’est passée dans un show
Au show de Jeszcze Raz au théatre du vieux-terrebonne, une toute petite salle. Moi et Josée devions être dans les plus jeunes à l’endroit. A la fin du concert, Paul Kunigis est revenu sur scène pour parler avec quelques personnes qui étaient rester, on faisait parti d’eux, moi je voulais faire signer mon billet et Josée la playlist du show. Y’a eu un couple début trentaine avant nous qui lui ont parlé. Elle disait qu’elle aimait tellement sa musique qu’elle voulait qu’il chante pour eux a leur réception de mariage. On a tout de suite vu la surprise dans le visage de Paul qui s’est mis a trébucher sur ses mots et qui s’est retrouver avec une carte d’affaire et un numéro à appeler pour donner sa confirmation en moins de deux minutes. Je pense qu’il était soulagé de nous donner que des autographes par la suite.
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Dimanche, je suis allé au Salon du Livre avec ma mère. Ça faisait un bon 2-3 ans que je n’étais pas aller et je m’en voulais un peu. C’est pas le fait que les livres sont moins cher (parce qu’ils ne le sont pas, y’a pas vraiment de choses qu’on peut pas trouver en librairie non plus), c’est le fait de voir des livres qu’on ne va pas voir en librairie que j’aime du salon. J’ai juste acheté trois livres, je me suis retenu parce que sinon je serais sorti avec une quinzaine au moins.
Je me suis même abonné à la Presse. J’en avait parlé avec Julie la semaine passé; il y a de ça plus d’un an, je voulais m’abonner a un journal, question d’avoir un semblant de routine a laquelle je pouvais m’attacher. Ça me donnait un sentiment de sécurité, c’était dans le temps que j’étudiais au Centre NAD et que je n’avais pas d’emploi parce que mes études étaient trop intenses. Je voulais pas le Devoir, juste parce que je le trouvais trop cher pour les nouvelles qu’il offrait. Je voulais pas le Journal de Montréal, juste parce que. Il me restait a choisir entre la Presse et the Gazette; or la Presse venait de changer son look, avait amené le petit bleu poudre sur sa page principale et, franchement, ça m’énervait.
Je m’explique, j’ai étudié en graphisme pendant trois ans et j’en suis venu a avoir des goûts très difficiles en matière de design graphique, que ça soit une mise en page, un site web ou une affiche publicitaire; c’est très rare que je vais trouver quelque chose du genre belle ou intéressante.
Donc, purement par goût visuel, j’avais choisi the Gazette, parce qu’aussi, faut l’avouer, j’adore la langue anglaise. Je peux pas la comparer à la langue française, c’est comme parler de pommes et d’oranges (mais ça, j’en reparlais dans un autre ticket, si je me sens d’attaque).
Fin de la parenthèse, je suis passé par-dessus le petit bleu poudre de la Presse et j’ai pris le deal qu’ils m’offraient. Je sais pas si je vais avoir le temps de la lire à tous les jours, mais bon, on s’essaye.
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Je prévoyais déjà, avant même d’être au salon, d’aller faire signer ma copie du livre de Stéphane Dompierre, Un petit pas pour l’homme. Je me souvenais, quand j’avais 12-13 ans, j’étais fan de Thorgal et je voulais faire signer une de mes BDs par Van Hamme et je n’avais pas pu; il y avait déjà trop de monde qui voulait faire comme moi, et la file était trop longue, il était parti avant que tout le monde ne puisse avoir son autographe. J’ai donc pas évalué la différence de célébrité et je me suis dit : « on va arriver en avance, comme ça, on va être sur de pouvoir y parler. » Je me pointe au kiosque de Québec-Amérique 15 minutes à l’avance, évidemment, y’a personne qui forme une ligne. Mais je reconnais François Gravel, j’ai trippé sur ses romans jeunesse quand je travaillais au Renaud-Bray, pas pu m’empêcher, je suis aller lui parler me tapant sur la tête de pas avoir amener ma copie de Kate, Quelque part. On a jasé pendant seulement une couple de minutes, mais on a survolé plusieurs sujets, comme les librairies, le travail et l’écriture, parce que j’ai osé lui dire que j’écrivais et que son livre m’avait donné en partie le goût de commencer. C’est con, mais ce qu’il m’a répondu m’a vraiment donné le goût de continuer et de terminer mon histoire, je vous dirai pas ce qu’il m’a dit en détails, vous le saurez quand je l'aurai fini.
Ensuite Stéphane est arrivé, on a parlé un peu, il a signé mon livre en checkant ce que j’avais surligné a l’intérieur. Julien l’a vu plus tard et a eu droit a un scoop, je sais pas trop si on a le droit de le dire, mais bon, ça devrait être intéressant.
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Les trois livres que j’ai achetés ont pas mal tous été décidé sur le moment, sans vraiment préméditer sur l’idée, c’est la façon que j’achète mes livres d’habitude, je tombe quelque fois sur des merdes, mais ceux que je trouve qui sont bons, sont merveilleux.
Je me suis pris le premier roman de Stéfani Meunier; L’étrangère, principalement à cause du titre et de la façon dont son prénom est écrit.
J’ai pris le recueil de nouvelles de Marie-Hélène Poitras à cause de l’entrevue que Stéphane Dompierre avait fait avec elle sur son blog.
Et j’ai acheté Le Jour des Corneilles de Jean-François Beauchemin de la maison d’édition les Allusifs parce que je cherchais un autre livre (du mercure sous la langue) de cette même maison. J’ai demandé des détails à la fille qui était là, une belge aux jolies yeux qui changeait ses ‘ismes’ en ‘izmes’, c’est le deuxième livre dont elle m’a parlé, et si je me fis à la façon dont je parlais des livres que j’aimais quand je travaillais en librairie, ce livre-là devrait être génial.
C’est le prochain sur ma liste de lecture, quand j’aurai fini La petite fille qui aimait trop les allumettes, qui à date, est encore meilleur que je prévoyais. Je vous en reparle.
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David.
Bein oui hein, bein oui. heille. WOW. On aimes ça dire n'importe quoi... Mais des fois ça devient difficile de perdre sa cohérence et faire vraiment de belles conneries. Il y a certaines personnes qui vont trouver, certains soirs que je suis en forme, que je suis vraiment fort pour déconner. Cependant, il me fait plaisir de vous présenter un collègue qui est pas mal fort...
Alors voici un recueil (c'est un blog, mais il ne traite pas de nouvelles, de sentiments ou de découvertes et comme il n'écrit pas souvent... c'est un recul. heu recueil) d'idées douteuses, de mauvais goût, d'incongruité, d'absurdité et d'innocence. Le tout bien mélangé et arrosé d'une sauce brune. Servir avec une Milwaukee tablette.
Julien
Suite à une discussion portant sur la joie apportée par le snooze, à un ticket de Emy qui mentionne la joie de snoozer 1 ou 2 fois; je reste perplexe. Voilà maintenant un peu plus de 24 ans que je dors en moyenne 8 heures / jour et, avant d'élaborer mon point de vue sur ce qui me semble un réel fléau, je vais donc établir mon profil de dormeur.
Pour des raisons évidentes, je vais faire abstractions des soirées de party.
On peut alors facilement remarquer que je porte une grande importance au sommeil et que chaque minute de sommeil m'est comptée.
Voilà alors mon questionnement: Pourquoi? Moi je comprends pas!
Je sais qu'on a des niveaux de sommeil et que certains niveaux sont plus réparateurs que d'autres... Je vais juste pas rentrer dans les détails (j'ai pas le goût de me renseigner sur Wiki ou Google).
Je travaille à Dorval, ce qui signifie plus d'une heure de transport en commun. Si je me lève à 6h45, j'ai le temps de prendre ma douche et de déjeuner sans trop rusher. Si je voulais snoozer "juste 2 ou 3 fois...", il faudrait que je me lève à 6h15... pour un autre 15 minutes de plus, je pourrais snoozer 2 fois de plus en mettant l'alarme à 6h. Beurk.
Personnellement, mon réveille-matin me fait chier. Des fois même, je peux me réveiller 2 minutes avant qu'il sonne et juste le regarder, le narguer et le haïr en attendant qu'il me crache au visage un poste de radio qu'il réussi a pogner sans trop gricher. Ensuite, je me lève et je débute ma journée top réveillé.
Un snooze, c'est 8-10 minutes? Donc 3 snoozes, c'est 24-30 minutes. Ça vous fait pas chier de vous faire réveiller, pour vous rendormir en sachant très bien que vous allez vous refaire réveiller dans 8-10 minutes pour peut-être encore snoozer... quand vous savez très bien qu'il serait plus bénéfique pour vous de dormir un 30 minutes ininterrompu.
Probablement que la réponse est simplement que le snooze n'as pas été inventé pour moi et que je ne suis qu'une exception
J'en ai une bonne pour vous: Si vous pouviez ajuster votre snooze, il serait long comment?
Julien
P.S. Pour les techno freaks, j'ai trouvé ça et ça.
Sur ce, bonne journée et embrassez quelqu'un pour moi!
-Monsieur Fred