6.06.2005

Fin de semaine d'enfer, volume II

Une gracieuseté de Julien


À la demande générale (bein... c'est juste Ben qui s'emmerdais et qu'il en mettait la faute sur le manque d'update du blog...), voici le second épisode d'une série(?) d'épisodes de fin de semaine d'enfer!

Comme à l'habitude, la fin de semaine à débutée le jeudi soir alors qu'on gambadais, Dave et moi, en direction du loft... en se promettant, bien sûr, que cette semaine, on ferait pas les cons... On rentre, et on se dirige vers le bar le plus près, celui de Jen (Dave dit que c'est bon d'entretenir une relation amicale avec les barmaids, parce que comme ça, c'est plus rapide pour obtenir nos drinks... j'sais pas si c'est une bonne idée moi). Le bar est bizarrement vide, on doit compter maximum 10 clients, mais on s'en fait pas, on se dit que la majorité du monde doit être sur la terrasse parce qu'il fait chaud (fait CHAUD, bâtard!). Mais Dave pis moi, on commence à aimer ça jouer au pools, alors on s'enligne 2 parties rapides (j'empoche la noire comme un novice, pis la deuxième game, j'fous une dégelée a Dave). J'propose ensuite a Dave de monter sur la terrasse, parce qu'il fait chaud (fait CHAUD, bâtard!) et Dave à la merveilleuse(?) idée de commender du shots de Téquila (holé!), on trouve nos ami(e)s sur la terrasse et s'enligne une belle soirée entre le dance floor et la terrasse...

Ce vendredi, on célèbre l'anniversaire de Jas et de Phil... 2 surprises sont planifiées pour la soirée, pour Phil, c'est un surprise party (j'me suis caché dans le garde robe et je suis sorti trop tard...) et pour Jas, on a fait venir des ami pseudo gogo boys de laval qui portent des shorts blancs avec des bretelles rouge le tout surmonté d'un chapeau de cowboy (oui oui), de toute beautée. On mange un bon vin et fromage très varié et pour une fois, on est pas obligé de retourner chercher de l'alcool (on commence à bien se connaître). Malgré mes bonnes intentions, je manque le dernier métro et finit par arriver chez moi vers 3h30...

Ma journée de samedi était plutot chargée, je me suis levé à 8h pour me préparer pour un dîner de famille à laval, mais en même temps, je me prépare pour un autre party que j'ai samedi soir à Ste-Adèle pour mon ami Pierre qui est présentement assis dans un 747 en direction de Vancouver, un allé simple en main. Le dîner de famille se prolonge en souper de famille, tellement que j'arrive à Ste-Adèle relativement tard. Ça devrait pas causer de problème pour un party normal, mais c'est pas un party normal, malheureusement. Le party est aux chutes du capitaine (j'ai toujours été à ces chutes là, mes parent habitent à côté, mais j'ai juste jamais appellé ça ou entendu parler du nom "les chutes du capetaine" avant). Alors, se rendre dans le noir, c'est pas facile... Oh oui, j'ai presque oublié de mentionner le facteur mosquito, qui sont sorti en grand nombre grâce à la merveilleuse température estivale des derniers jours (fait CHAUD, bâtard!). Heureusement, j'ai une gang qui m'attends avant de se rendre, ce qui rends l'épreuve beaucoup moins difficile. Comme on arrive plus tard que les autres, on arrive et le party est déjà pas mal lancé, la peau des tams tams fait vibrer l'air, le son de cordes grattées me chatouille le tympan et le feu à déjà de la misère. Très belle et longue soirée avec beaucoup d'inconnus sympatique, je suis allé me couché dans ma tente et les gens continuaient à arriver... à 4h00...

Finallement, le dimanche... J'avais de quoi à me faire pardonner vis-à-vis ma maman, alors j'ai décidé de passer la journée avec elle (Comme j'était déjà à Ste-Adèle et que ça fait un siècle qu'elle veut m'emmener magasiner) et comme de fait, elle m'emmène chez Winners (... on gagne à y aller souvent...). En toute honnètetée, je suis pas malheureux d'aller chez Winners, je suis vraiment pas un fan du magasinage, surtout pas quand je suis avec ma mère, mais dans le Winners, il devait facilement faire 15 degrés de moins que dehors (fait CHAUD, bâtard!). 2 heures, 20 portes de salles d'essayage et 743 bouttons plus tard, je suis finallement équipé pour du vrai travail de bureau. Ce qui est surprenant dans tout ça, c'est que j'avais encore l'énergie pour aller au souper de fête à mon cousin...

Bon, j'espère que c'est la fin des épisodes. Pour ma part, je crois que ça va suffire là, et je crois que ça va suffire pour aujourd'hui aussi. Il est 22h11 et j'vais tenter de me décoller de sur ma chaise d'ordi, c'est que, vous voyez, il fait CHAUD, bâtard

*Photos à l'appui demain!*

Julien qui commence à s'ennuyer de ses skis (et qui aime rajouter des commentaires en parenthèses, comme celui là justement)